General (1800), Count of the Empire (1808), aide camp of the Emperor, followed the Emperor on the Island of Elba, compan...

Lotto 688
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General (1800), Count of the Empire (1808), aide camp of the Emperor, followed the Emperor on the Island of Elba, companion of exile to St. Helena. Family correspondence, giving news of his wife and younger son, Alphonse; of his daughter Hortense who has just married Amédé Thayer. Henri-Gatien BERTRAND. 1773-1844. Général (1800), comte de l’Empire (1808), aide camp de l’Empereur, suivit l’Empereur à l’Ile d’Elbe, compagnon d’exil à Sainte-Hélène. 2 Lettres aut. signées. 1823, 8 juillet 1829. 1 pp. et 3 pp. in-8 sur bi-feuillets, adresses au verso, marque postale. Correspondance familiale, donnant des nouvelles de sa femme et de son fils cadet, Alphonse ; de sa fille Hortense qui vient d’épouser Amédé Thayer (en mai 1828), etc. : - 1828 : à sa tante de Laclavière [en coin, note du fils du général] : à propos d’Alphonse et sur l’envoi d’une caisse avec mandat ; (…) Ces dames ont ôté ici le couvercle de la caisse et ont trouvé le chapeau fort à leur goût (…). Ma femme a toujours des maux d’accouchement. Le petit Alphonse est bien ; la bonne maman pas mal ; elle avait hier soir la compagnie qui avait dîné chez Mde (Crabier). Hortense nous a donné de ses nouvelles. Mde Thayer a été malade. Nous attendons les enfans (…). - 1829 : à sa fille Hortense Thayer : (…) Je t’envoie un petit bonjour. Nous ne sommes pas encore remis de la secousse que nous a fait éprouver la parution que le Dc (Falchiero) a fait ce matin à la grand-Maman (…). Le Dc me parla de cette opération comme indispensable (…). Maman n’a pas souffert beaucoup ; elle encourageait tous ceux qui étaient autour d’elles, Nanette qui pleurait, le docteur qui suait et que l’attachement à ma mère rendait fort troublé (…). Le général donne des détails de la saignée et poursuit : Ma bonne mère qui juge bien son état, le dissimule surtout devant les enfants, plaisante et le supporte avec courage, calme et gaieté ! Excellence mère, femme rare, aimable et si parfaite pour tout le monde (…). Etc. JOINT une lettre aut. de « Fanny », femme du général Bertrand, détaillant divers comptes et dépenses notamment du cuisinier ; (…) j’ai passée une bien mauvaise journée. Je t’enverrai la note de la dépense de la maison depuis le 15 novembre (…) Je n’ai aucun reproche à me faire. Je fais la plus grande attention au ménage (…). (2 pp. bi-feuillet petit in-12).